Plus de 47 000 soldats métropolitains, légionnaires, tirailleurs africains, ainsi que 28 000 vietnamiens, cambodgiens et laotiens, combattant au sein du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient, y trouvèrent la mort, dont un Courthézonnais.
Souvenons-nous du coup de force japonais du 9 mars 1945, de ces combats qui ne s’arrêtèrent pas le 8 mai 1945, de ces hommes qui résistèrent dans les citadelles et maquis d’Indochine.
Honneur à ceux d’Indochine.